Sur l’air des « Ricochets » de Georges Brassens
Le départ.
Pauvre Raffarin,
O cruel destin,
Te voilà viré
Par le président
Qui brutalement
Va te remercier
Le référendum,
Mon pauvre bonhomme
T’as été fatal
Et c’est l’âme triste,
Mon pauvre sinistre,
Que tu t’fais la malle a le
Que tu t’fais la malle a le.
Mon pauvre Jean-Pierre,
On te jette la pierre,
Pourtant t’es l’meilleur
Tes raffarinades
Et tes fines boutades
Nous comblent de bonheur
Mais tu dois partir
Et ça nous déchire
Notre cœur docile
Vas-tu retrouver
Sur son îles de Ré,
Jospin le fragile i le
Jospin le fragile i le.
La France d’en bas
Rêve de Nicolas
Pour te remplacer
Mais c’est à Chirac,
Un p’tit peu patraque
De le décider
S’il va au casse pipe,
Ce si gentil type,
Risque de s’enliser
Y laisser des plumes
Et plein d’amertume,
Adieu l’Elysée é é
Adieu l’Elysée é é
Et finalement,
No’te bon président
A nommé Vill’pin
Les raffarinades
Sembleront bien fades
Car no’te new copain
Est un grand poète
A la haute crête
Il est résolu
En alexandrin,
Mais, même refrain,
A nous faire cocu u u
A nous faire cocu u u!
Pauvre Raffarin,
O cruel destin,
Te voilà viré
Par le président
Qui brutalement
Va te remercier e
Le référendum,
Mon pauvre bonhomme
T’as été fatal
Et c’est l’âme triste,
Mon pauvre sinistre,
Que tu t’fais la malle a le
Que tu t’fais la malle a le.