Inauguration du site "âneries"
Commentaires
-
bon chui vnu mais les bouteilles sont a sec,va falloir changer le fournisseur,même pas une tite goutte pour moi.!!!
-
merde j'ai oublié de ramener des ptits fours.. pffffff !!
félicitations !!
parait-il que c'est ce qu'il faut écrire... je sais pas ce qu'on fête mais bon.. qd on est âne on le reste...
-
Hips ! j'adore le champagne.. je ne bois que ça.. ( et de l'eau à l'occasion qd même lol !! )
merci de cet accueil top et à tout bientôt !
heu les ptits fours, cherchez plus.. je les ai piqués ( qd on boit faut manger hein..)
Elie -
Ah Valentino!
Survivre en dégustant du champagne!
Elle est pas belle la vie?????
-
ça augure une bonne rentrée 2005, dans la joie et la bonne humeur! ton site est un bon antidote contre la morosité et les zâneries ambiantes. On va pouvoir survivre.
-
Si vous voulez pousser un peu la relation, allez sur la page "Ma maison" dans 'Infos"
La porte est ouverte.
-
aller je trinque a ta santé .je prefere une ch'tite biere plutot que du champ' mais puisque je suis de prêt Christine dans cette degustation et ben j'vais prendre quelques bulles de poésie et d amitie que je partage avec vous 2
-
Ben,en fait,j'aime pas tout ce qui a des bulles.Mais bon,pour toi,j'en veux bien une toute petite gorgée.Mais tout mon coeur y est.
-
Je t'aime nature Adeline!
-
J'étais pas prévenu, j'ai pas ma robe et mon maquillage est pas frais...... je reviens !
-
En attendant , les brebis se font tondre par son remplaçant.
Galère de galère!!!! -
he bin moi aussi mon préféré reste F.Mitterand et ta chanson je le trouve rudement bien écrite bravo citoyen de gauche et amities à tonton qui doit surveiller ses brebis de quelque part
ba jmi -
Indigence
Dans un petit deux pièces cuisine,
Moi ministre de la république,
J’ai troqué l’costume pour le jean,
Il faut faire simple question d’étique.
Adieu dorure et fioriture
Il faut se la jouer prolo,
Habité dans un lieu obscur,
Avec le minimum qu’il faut.
Ni valet et ni maître d’hotel,
C’est difficile à vivre je sais,
Et je lave moi-même la vaiselle,
Si, si, c’est incroyable mais vrai.
Pour ce midi je cuis des nouilles
Avec de la tomate en boîte
Car il faut bien que j’me débrouille,
Ma situation est délicate.
C’est pas la joie d’être ministre,
Et mon morale est déclinant,
Ma vie est cruelle et sinistre,
Je comprends mieux la votre maint’nant.
-
Le député
Je suis votre nouveau député,
Elu fraîch’ment à l’assemblée,
Vous remercie du fond du cœur
Mes chers et gentils électeurs.
C’est vrai je me suis bien battu,
Je suis connu pour être têtu,
J’en ai serré des paquets d’mains,
Ça en devient presqu’inhumain.
Je suis votre nouveau député,
Elu fraîch’ment à l’assemblée,
Je vous en ai fait des promesses,
Vous en ai donné des caresses.
Je vous ai même offert la lune
Et prédis à tous la fortune,
Travail, famille et tite pépée
Et le soir un petit tarpé.
Je suis votre nouveau député,
Elu fraîch’ment à l’assemblée,
Avec moi fini les soucis
Et plus personne ne licencie.
Le soleil brille pour tout le monde
Le pays d’utopie s’innonde,
Les fleurs s’épanouissent même l’hiver,
Nous sommes les rois de l’univers.
Je suis votre nouveau député,
Elu fraîch’ment à l’assemblée,
Mais maint’nant laissé moi tranquille,
Je n’ai plus à me faire de bile.
Fini le temps des élections,
Je m’assois sur mes convictions,
Je réfléchis à ma carrière
Et j’oublie mes promesses d’hier.
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère,
Tra la la la la la la lère.
-
Tonton
A chacun ses idoles, en politique aussi,
On a tous, c’est certain notre modeste avis,
Je vous le dis tout net, je vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Certes ce brave centenaire qui au bord de la fin,
Crie avant de mourir « Vive Pétain ! Vive Pétain ! »,
A ses raisons sans doute, mais j’ vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Il a bien sûr ses fans, le grand et fier De Gaulle,
Personne ne lui conteste, dans l’histoire son rôle,
Il a sauvé la France, mais j’vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Je n’oublie pas le brave érudit Pompidou,
Son successeur Giscard, un peu plus aigre doux,
Ils ont leurs qualités, mais j’vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Il est bien sympathique le vénéré Chirac,
Même si à la télé, il a souvent le trac,
Triomphale élection, mais j’vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Bien sûr quelques affaires et cette bataille navale,
Lui ont assurément fait beaucoup trop de mal,
Mais vous pouvez crier, je vous le dis crûment,
Mon préféré à moi, reste François Mitterrand.
Et puis qu’il cache sa fille et qu’il cache son cancer,
Sa vie lui appartient, je l’affirme, suis sincère
Et vous pouvez hurler, je le répète crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
Qui peut lui reprocher de n’point être à l’écoute
De ses concitoyens, ses opposants sans doute,
Au diable la langue de bois, je l’affirme crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mitterrand.
J’ai pourtant lu les livres des meilleurs journalistes,
Qu’ils l’éreintent sans vergogne, le traitent d’arriviste,
Mais rien n’y fait bon sang, je le radote crûment,
Mon préféré à moi c’est François Mitterrand.
Peut- être que des psys de toutes terminaisons
Pourraient m’aider, j’espère, à retrouver raison,
En attendant tant pis, je le chuchote crûment,
Mon préféré à moi, c’est François Mittterrand.
-
Que je les aime, les politiques,
Avec leur sourire angélique,
Leurs discours un rien ironique,
Leurs réparties souvent caustiques.
Que je les aime les électeurs,
Avec leurs rêves d’enfant de chœur,
Leur quête perpétuelle du bonheur,
Leurs discours revendicateurs.
Que je les aime les politiques,
Avec leur bel esprit civique,
Ils incarnent notre république,
Ils ont la fibre démocratique.
Que je les aime les électeurs,
Des méchants élus, pourfendeurs,
Tout en cherchant un protecteur
Pour obtenir une petite fleur.
Que je les aime les politiques,
Quand un juge, quel vilain loustic,
Jette un pavé dans la boutique,
Ils s’affolent, pire même ils paniquent.
Que je les aime les électeurs,
Hurlant contre cette bande de voleurs,
Tout en arnaquant l’percepteur,
Bien sur en tout bien tout honneur.
Que je les aime les politiques,
Quand ils font leur autocritique,
Avec des airs d’ecclésiastiques,
En proie à une furieuse colique.
Que je les aime les électeurs,
Quand ils pleurnichent sur les malheurs
Des victimes d’un persécuteur
Magistrat trop rempli d’aigreur.
Et que je l’aime le politique
Elu avec un score magique,
Président de la république,
Quel bel élan patriotique !
Mais j’aime moins les électeurs,
Quand ils laissent trop parler leurs peurs
En votant pour haine et fureur
Dans un geste de mauvaise humeur.
-
Salut Jean Pierre, merci infiniment pour ces petits moments de plaisirs ;)
Il ne manque plus que le son pour savourer davantage tes création, a quand la star ac' lool, merci pour tes jolis poèmes proposé sur mon site coeur poête ils sont en ligne
bonne continuation -
Ya plus de petit fours!Ton site est très intéressant d'ailleurs je crois, que je vais faire un petit tour dans la page toilette!
-
Félicitation pour ton site!
-
Félicitation le champagne est très bon!
-
Je suis venu par amitié, je ne peux rester que quelques instants...désolé. J'emporte juste une bouteille, même débouchée, pour la route ( je tomberai bien sur un bouchon en chemin ) Bonne inauguration. RR
-
Oh pardon! Je suis peut-être arrivé un peu trop tôt.
Ajouter un commentaire